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Voici la vidéo que j’ai utilisé pour justifier mon opinion dans le billet « Les réseaux sociaux et leurs répercussions sur les relations. »  Elle s’intitule « Toi sur le Web: Ton identité numérique. » http://www.youtube.com/watch?v=88Y8mjSknIc

En continuant ma réflexion sur l’identité numérique, voici ce que je pense de l’utilisation des réseaux sociaux et de ses répercussions sur les relations interpersonnelles et professionnelles.

Je pense que les gens ignorent l’ampleur de leurs gestes et de leurs écrits qu’ils placent sur Internet.  Si les gens ne sont pas avertis, comment peuvent-ils savoir qu’un commentaire peut les hanter pour toujours?  Par exemple, la vidéo de Madame Jocelyne Bourque, « Toi sur le Web: Ton identité numérique », explique bien qu’un employeur peut chercher un employé potentiel sur Facebook.  Si les données qu’il trouve ne sont pas très professionnelles, cette personne peut « perdre » cet emploi. 

  En plus, les réseaux sociaux sont la place idéale pour la cyber intimidation.  Certains élèves au Canada et au États-Unis se sont suicidés à cause qu’ils ne se faisaient pas seulement intimider à l’école mais aussi sur Internet.  De plus, les réseaux sociaux permettent aux intimidateurs de garder l’anonymat, comme l’indique le site du gouvernement du Canada (http://canadiensensante.gc.ca/enfants/intimidation/?lang=fr).  Ceci illustre pleinement l’importance d’éduquer les jeunes à l’égard d’une utilisation judiciaire et sécuritaire d’Internet.

  Les réseaux sociaux sont aussi la cause de problème d’identité chez les jeunes qui peuvent mieux répondre à la question qui es-tu qu’à la question qui suis-je, comme l’indique M. Stephan Downes dans sa présentation « My digital identity. »  À mon avis, cette situation est un peu triste!

  Cependant, les réseaux sociaux sont une mine d’or pour ceux et celles qui l’utilisent professionnellement et qui réfléchissent à  leurs entrées Internet avant de les placer.  Ces personnes assument leur identité numérique et font attention à tout ce qu’ils font professionnellement en ligne.  D’après moi, ces professionnels sont informés des dangers reliés à l’utilisation des réseaux sociaux et décident de les utiliser judicieusement.  Par exemple, l’eportfolio qu’on fait dans le cours d’espace virtuel (Université de Moncton, N.-B.) est une bonne façon de créer notre identité numérique professionnelle.  De plus, comme l’indique la vidéo sur l’identité numérique de Mme Jocelyne Bourque, les données que nous plaçons sur Internet sont permanentes et l’anonymat n’existe pas dans ces cas.  L’information que les gens placent ne leur appartient plus d’où l’importance de se construire une bonne réputation en ligne.

  Une bonne réputation en ligne permet de créer des liens avec d’autres professionnels de notre domaine qui peuvent nous aider dans notre travail.  Par exemple, les professionnels contribuent à  la richesse de Twitter, de Vodpod et de Slideshare.  Selon moi, ces sites sont des ressources et des outils essentiels en éducation afin de permettre aux enseignants de varier leurs méthodes pédagogiques.

 Pour les relations interpersonnelles, les réseaux sociaux sont un bel endroit pour rester en contact avec les personnes qu’on aime.  Cependant, je suis en accord avec la video « You need to get off facebook », lorsqu’elle démontre que nous n’avons pas vraiment 800 amis.  Alors pourquoi être quelqu’un que nous ne somme pas en ligne?  De plus, dans la vraie vie, nous sommes beaucoup plus que ce que nous sommes en ligne (traduction libre des pancartes de la video « You need to get off facebook »).  

En suivant cette idée, voici la question que je me pose:  pourquoi les gens sont-ils poussés à écrire des choses qui ne représentent pas leur faҫon de penser sur les réseaux sociaux ou sur Internet?

 

Cher Facebook!

Bonjour!

Suite au visionnement de plusieurs vidéos sur l’identité numérique et à l’élaboration de mon opinion sur la question: « Est-ce que l’utilisation des réseaux sociaux peut avoir une incidence sur les relations interpersonnelles et professionnelles? » pour un forum de discussion dans le cadre du cours espace virtuel (EDUC 3503) de l’Université de Moncton, j’ai décidé de supprimer les “amis” auxquelles je n’ai jamais parlé depuis qu’ils sont sur mon compte Facebook.

Je réalise que je sens un vide.  Je ne saurai plus ce qui se passe dans la vie de ces personnes que j’ai supprimée.  Je suis surprise de me sentir de cette faҫon.   Je ne suis pas une personne qui aime le nécessairement les « gossip! » Je crois que je me suis simplement habituée à savoir ce que ces personnes font de leur vie.

Cependant, est-ce que ces informations me sont vraiment nécessaires? M’est-il vraiment nécessaire de savoir que Georgette est partie marcher avec son nouveau chien? Je crois que ces données me remplissent la tête d’informations inutiles sur des personnes à qui je ne parle pas! Je crois que j’aime mieux faire de la place pour mes vrais amis.

D’un autre coté, je me sens plus en sécurité par rapport à mon compte facebook.  Je suis assurée que les personnes qui  font encore parties  de mon compte Facebook  sont des personnes qui me veulent du  bien.  Que si elles placent des photos de moi, c’est parce qu’elles me trouvent belle dessus! 😛

Alors, je vous encourage de laisser les habitudes de facebook de côté un instant et de réfléchir un peu sur votre identité numérique.  Pour vous aider, voici deux vidéos qui m’ont particulièrement touché.

You need to get off facebook: http://www.youtube.com/watch?v=8UouP8cRYZ8

Everyone Knows Your Name: http://www.youtube.com/watch?v=hOwpGF1SOQM